Mais imaginez que cela ne soit plus un calvaire.
Imaginez que dans un mois, ou dans un an, vos descriptions soient parmi les plus vivantes et les plus passionnantes que vos lecteurs aient jamais lues…
Imaginez qu’on écrive ceci au sujet de vos ouvrages :
« C’est incroyable : en quelques mots, tes descriptions me happent et me passionnent. J’imagine le moindre détail, comme si j’y étais. Et l’émotion qui transparaît à chaque ligne est si belle, si juste… il y a des personnages si justement croqués et des lieux si bien décrits que je n’ai qu’à fermer les yeux pour les retrouver. »
La première fois que j’ai lu quelque chose de semblable dans une chronique au sujet d’un de mes romans, j’avoue que mes mains en ont tremblé.
C’était en 2010, et je m’en souviens encore comme si c’était hier…
Pourtant, mes descriptions n’ont pas toujours été évocatrices, profondes ou émouvantes, loin de là.
Au début, elles étaient même ma bête noire : j’en avais peur, car je ne savais pas par quel bout les prendre !
Dès que j’essayais d’être précise pour décrire un lieu, mes lecteurs se perdaient et ils ne visualisaient rien correctement.
Je voulais être la plus claire possible, alors j’empilais toutes sortes de détails les uns par-dessus les autres.
Et cela perdait davantage mes lecteurs.
Pire encore : parfois, ils sautaient carrément le passage, parce que mes descriptions les ennuyaient profondément…
Je n’ai pas lâché l’affaire et, petit à petit, mes descriptions se sont améliorées.
Cependant, j’étais encore loin du compte…
Je les plaçais mal dans le récit, ce qui cassait le rythme de mes scènes.
Souvent, j’écrivais des descriptions trop factuelles là où j’aurais dû mettre de l’émotion, et vice-versa.
J’avais beau essayer de sortir de certains clichés descriptifs éculés, comme le personnage qui se décrit quand il se regarde dans le miroir, je finissais toujours par y revenir bien malgré moi.
Ces bouts de texte me paraissaient sans saveur et ne mettaient pas du tout en valeur l’histoire riche, puissante et inspirante que j’imaginais dans ma tête !
C’est comme ça que, les descriptions, j’ai fini par les prendre en grippe… pourtant, difficile de ne pas décrire quoi que ce soit quand on écrit un texte sans images, n’est-ce pas ?
À l’école, on nous apprend indirectement que la richesse des descriptions est à l'origine de la valeur littéraire d’un texte.
On nous fait fouiller les textes littéraires en quête des descriptions les plus riches possibles, les plus abouties…
Et même sans nous répéter à l’envie que « la grande littérature, c’est ça ! », c’est quand même le message qui finit par passer.
« Les grands auteurs font de belles descriptions ».
Autant vous dire que je m’en suis longtemps voulue de ne pas savoir écrire des descriptions un tant soit peu correctes…
Et que j’ai longtemps cru, à cause de cela, que je serai toute ma vie une « mauvaise autrice ».
Aujourd’hui, j’ai fait la paix avec les descriptions.
Mais il m’a fallu des années de remises en question et d’apprentissages divers pour m’y retrouver et, peu à peu, me sortir du puits du désamour-propre où mon manque de maîtrise des descriptions m’avait plongée.
J’en ai fait un tel complexe que je me suis concentrée sur ce problème durant longtemps.
J’ai testé des dizaines et des dizaines de techniques, sans savoir lesquelles importaient plus que d’autres, ni pourquoi… mais ce n’est que lorsque je suis entrée en Master de traduction littéraire que j’ai pris conscience des défauts de la méthode traditionnelle en termes d’apprentissage de la description.
Les descriptions semblent être une espèce d’angle mort de la narratologie contemporaine en France.
J’ai trouvé beaucoup d’éléments concernant les descriptions des romans de la fin du 19e siècle et du début du 20e, beaucoup de choses sur le roman réaliste et ses descriptions très détaillées, mais rien sur comment on décrit aujourd’hui.
Pire encore, je me suis aperçue qu’en dehors de quelques techniques importées de la scène littéraire anglophone, les conseils sur les descriptions adressés aux jeunes auteurs, en France, sont plus ou moins hérités du naturalisme…
Comme si, en plus d’un siècle, la description n’avait pas évolué dans sa fonction, sa forme et ses méthodes…
En fait, le vrai problème avec les descriptions en France aujourd’hui… c’est qu’il n’y a pas de vraie méthode d’écriture.
Ou disons plutôt qu’il y a beaucoup de techniques disparates (et vieillottes), mais aucune méthode globale et nuancée pour nous indiquer correctement par quel angle commencer à les travailler.
Or, piocher à droite et à gauche, ça ne permet pas de disposer de bases solides, concrètes et fiables pour aller plus loin sur le plan technique.
Alors, oui, certes : depuis quelques années, tout le monde brandit le « show don’t tell » venu des écoles anglo-saxonnes, mais ce n’est ni la panacée ni un système complet.
Et, surtout, c’est une technique anglo-saxonne et américanisée, très spécifique et souvent mal comprise en France – et quand on l’utilise en tant que jeune auteur, il s’agit de l’inscrire dans une pensée francophone de la description, au sein d’éléments disparates mal identifiés qu’on nous a inculqués à l’école au sujet des descriptions, ce qui ne se fait pas sans heurts…
Aujourd’hui, avec cette masterclass, j’aimerais vous aider à dépasser les blocages qui vous empêchent d’écrire les descriptions de vos rêves.
Pour ce faire, j’y ai rassemblé tout ce dont vous avez besoin pour écrire des descriptions… et les utiliser correctement au sein de votre récit !
Je vais vous expliquer comment réussir à penser, placer et écrire des descriptions immersives, vivantes et dynamiques, afin de rendre le processus moins poussif et moins difficile.
Je vais vous guider pas à pas dans cette transformation, de manière à ce que vous deveniez totalement autonome sur ce point précis !
Et que, d’ici quelques mois, cela devienne même instinctif !
Grâce à cette masterclass, d'ici quelques jours, vous aurez réussi à dépasser vos blocages techniques et méthodologiques afin de changer votre approche de l’écriture des descriptions.
Vous percevrez mieux les rouages qui animent les « belles descriptions » que vous aimez tant, et vous serez ainsi en mesure de comprendre ce qui les rend belles à vos yeux, et comment vous pouvez atteindre un résultat équivalent, toujours à vos yeux et selon vos propres critères.
Plus tard, d'ici quelques mois, quand vous aurez entièrement assimilé le contenu de cette masterclass, vous serez capable d'écrire des descriptions claires et efficaces dès le premier jet.
Et ce, sans pour autant sacrifier à l’intensité et à l’émotion, ni à l’immersion ou au rêve !
Autrement dit, je vais faire en sorte de vous donner tous les outils nécessaires, et la méthode qui va avec, pour que vous soyez bientôt en mesure d’écrire des descriptions vivantes et dynamiques, organiques, qui ne sonnent pas juste comme un « ramassis de détails » empilés les uns par-dessus les autres.
Cette masterclass ne traite que d’une seule compétence…
Mais le savoir-faire auquel elle va vous donner accès sera utile à l’écriture de tous vos romans, durant toute votre carrière d’écrivain.
En travaillant cette compétence, vous œuvrez pour l’auteur que vous êtes aujourd’hui, mais aussi celui que vous serez demain.
Cette méthode s’adresse principalement aux auteurs débutants et aux intermédiaires.
Les plus confirmés d’entre vous n’y trouveront leur bonheur que si vraiment les descriptions sont votre bête noire.
Prêt-e-s ? Voici le plan !
+ Aux origines de la description romanesque… ou comment les héritages du passé influencent encore notre façon d’écrire ;
+ « En vrai, c’est quoi, une description ?! » : une question que l’on devrait se poser plus souvent ;
+ Le B. A.-BA des descriptions : 3 approches concrètes et spécifiques qui vous faciliteront la vie !
+ Le « bingo descriptif » : LA grosse erreur qui retarde l’apprentissage de tous les auteurs débutants… et parfois moins débutants ;
+ Décrire ce qui n’existe pas : le cas particulier de la description en science-fiction, fantasy et fantastique ;
+ SHOW DON’T TELL : un outil indispensable pour l’immersion du lecteur, mais insuffisant pour les auteurs…
+ Les secrets d’un « show don’t tell » réussi, et comment y parvenir vous aussi ;
+ Figures de style… figures de tell ? On examine l’épineuse question des figures de style dans les descriptions ;
+ CAS PARTICULIER : la description d’un personnage lors de sa première apparition ;
+ Pourquoi le langage corporel est parfois mal utilisé dans les descriptions romanesques, et comment éviter de commettre cette erreur ;
+ La liste des effets que votre description doit produire sur le lecteur pour être intense et inoubliable…
+ … et la liste des techniques d’écriture qui s’y rapportent, pour être CERTAIN-E-S d’écrire une description à la hauteur de vos attentes ;
+ Pourquoi il ne faut pas chercher à tout apprendre en même temps, et comment dépasser ses propres limites pour améliorer ses compétences ;
Vous pouvez dès maintenant ajouter cette masterclass à votre espace personnel en cliquant sur « Accéder ».
En plus d’être basée sur ma propre expérience d’autrice, cette méthode est le fruit d’un travail pédagogique profond, de façon à ce que vous puissiez vous l’approprier de la manière la plus naturelle et la plus personnelle possible.
Pas de théorie généralisante, car ce n’est pas à vous de vous adapter : c’est à la méthode de s’adapter à vous.
Il y a autant de méthodes qu’il y a d’auteurs, et ici, je vous propose de vous reposer sur la mienne pour mieux bâtir la vôtre.
Ce travail peut commencer dès maintenant en cliquant sur « Accéder ». Vous aurez accès à vie à ce contenu, à toutes ses futures mises à jour et ses bonus, et vous pourrez avancer au rythme qui vous convient.
On se retrouve de l’autre côté.
À tout de suite,
Cécile.