L'école d'écriture 2.0/LES SECRETS DES UNIVERS ROMANESQUES IMMERSIFS : une méthode pour créer des mondes passionnants, organiques et cohérents

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LES SECRETS DES UNIVERS ROMANESQUES IMMERSIFS : une méthode pour créer des mondes passionnants, organiques et cohérents

Vous rêvez de créer des univers romanesques immersifs et captivants.

 Vous rêvez d’être l’auteur d’un monde littéraire passionnant, tant et si bien que vos lecteurs continuent d’y penser, d’y vivre et d’en imaginer les moindres recoins même après avoir tourné la dernière page.

Mieux encore, vous avez l’ambition de créer des univers de science-fiction, fantasy et fantastique cohérents et vraisemblables, au point d’en paraître réels, et ce, non pas en dépit de leur aspect merveilleux, mais grâce à lui !

Bref, vous rêvez de créer des univers qui feront voyager vos lecteurs pour de bon et dont ils se souviendront même dans plusieurs années.

 

Des univers romanesques inoubliables en science-fiction, fantasy et fantastique, vous en avez plein en tête.

Parmi les grandes œuvres classiques, je pense personnellement aux Six Duchés dans L’Assassin Royal de Robin Hobb ; à la planète de Pern dans La Ballade de Pern de Anne McCaffrey ; aux territoires incroyables de la Terre du Milieu dans Le Seigneur des anneaux de J.R.R. Tolkien ; aux mondes parallèles dans La Quête d’Ewilan de Pierre Bottero ; à l’île magique et ses mystères dans Le Livre des étoiles de Erik L’Homme ; aux Ailleurs et multivers de la série des Chrestomanci de Diana Wynne Jones, autrice qui a également créé le monde qui a inspiré Le Château ambulant de Miyazaki…

Au moins une voire plusieurs de ces références vous parlent et vous évoquent un ou plusieurs univers merveilleux qui vous ont marqué.

À vie, parfois…

  

Toutes les grandes œuvres de SFFF ont une chose en commun, et c’est le caractère immersif, quasi infini, de leurs univers romanesques.

C’est d’ailleurs l’un des principaux marqueurs des œuvres d’aujourd’hui qui deviendront, dans un futur plus ou moins proche, les grands classiques de demain.

Je pense par exemple à certains ouvrages récents dont les univers captivants ont fait le succès, comme les arches suspendues de La Passe-Miroir de Christelle Dabos ; les plaines brisées dans Les Archives de Roshar de Brandon Sanderson ; les quatre Londres magiques de V. E. Schwab dans Shades of Magic ; l’Aix-en-Provence merveilleuse et mystérieuse d’Audrey Alwett dans Magic Charly ; mais aussi le Paris alternatif et steampunk des Mystères de Larispem de Lucie Pierrat-Pajot…

  

Vous commencez par travailler votre univers, déterminé à créer des mondes aussi ambitieux et passionnants que ceux des auteurs qui vous ont fait rêver jadis.

Vous entamez un minutieux recensement quasi encyclopédique de chaque détail.

Vous imaginez, vous prenez des notes, vous approfondissez dès que possible…

Votre objectif est simple dans son expression mais d’une ambition immense dans son exécution.

Alors vous continuez, encore et encore, pour aller au bout de vos meilleures idées et les rendre meilleures encore.

 

 
Sauf que vous oubliez très vite que vous écrivez un roman… et pas l’encyclopédie de votre monde imaginaire.

Vous vous perdez dans des détails certes originaux, mais pas nécessairement utiles à votre future intrigue.

Au final, vous obtenez une bible de 95 pages, avec des cartes, des inspirations visuelles et un traité plus ou moins détaillé sur le système économique, social et politique de votre univers. 

 

Votre monde imaginaire est complet, profond, détaillé… tellement que vous ne savez pas par quel bout le prendre pour commencer à l’introduire dans le premier jet de votre récit.

Vous faites un premier essai, où vous rédigez ce que vous espérez être une scène à la fois dynamique et pleine d’éléments qui rendront votre lecteur curieux au sujet de cet univers qui vous tient tant à cœur…

Sauf que vos premiers bêta-lecteurs vous signalent un trop plein d’informations.

« C’est un exposé trop long à lire ; c’est intéressant, mais ça n’a pas sa place ici ; boarf, c’est pas dynamique, j’ai eu envie de sauter des lignes ; tu devrais commencer par présenter les personnages, non ? »

Sauf que, pour comprendre vos personnages, leurs intentions et donc l’intrigue, il faut aussi comprendre l’univers…

Tout est censé rentrer dans ces premières scènes, tout !

Alors vous tentez une nouvelle fois d’écrire cette scène introductive…

 

 
À ce stade, vous prenez conscience du fait que votre univers est trop dense et trop vaste pour être exposé de façon dynamique et efficace au début du récit.

Et que le lecteur n’en saisira donc pas l’essence et l’originalité dès le premier chapitre.

Pas sans avoir lu les 95 pages de bible qui expliquent votre monde imaginaire, en tout cas.

Sauf que vous n’avez pas 95 pages pour convaincre le lecteur de rester.

Vous n’en avez qu’une demi-douzaine, tout au plus.

 Conscient de cette problématique, vous finissez par sélectionner un seul aspect de l’univers à présenter en premier.

Vous écrivez à nouveau votre premier chapitre… et, cette fois, c’est le problème inverse qui se présente à vous.

Votre nouvelle version est tant et si bien dépouillée de tout qu’elle en devient insipide.

Vous recommencez, à nouveau, votre premier chapitre.

Vous vous arrachez de nouveau les cheveux.

Version 4, ça n’est pas encore ça.

Version 5, non plus.

Version 6…

Version 7…

Version 8…

 

 
Il n’est pas rare que des jeunes auteurs baissent les bras tant il est difficile d’écrire un roman et d’y mettre en place un univers donné autour d’une histoire donnée.

Dans notre tête, tout fait sens, mais sur la page… c’est une autre histoire.

On a l’impression qu’on ne sera jamais à la hauteur pour bien écrire ce roman, dont l’univers semble nous dépasser en ampleur.

Comme si nous n’avions pas les moyens de nos ambitions, et que nous ne les aurions jamais…

 

 
Je vous rassure : le problème ne vient pas de vous, ni de votre univers ou de votre intrigue.

Il ne s’agit jamais d’un manque de talent, de détermination ou d’imagination.

C’est juste que vous manquez de méthode.

 

Moi aussi, je suis passée par là ; j’ai mis des années à trouver, penser puis établir ma méthode de création d’univers. 

Celle qui fonctionne pour moi, qui soit à la fois figée et souple, et dont je puisse me servir de roman en roman.

Méthode que je vous présente aujourd’hui dans le cadre de cette nouvelle masterclass !

 
 

Grâce à cette méthode, vous aurez tout le savoir-faire nécessaire à la création d’univers immersifs, cohérents et organiques.

Vous aurez également accès à tous les outils techniques nécessaires pour exploiter et transposer cet univers dans votre roman !

Sans avoir à écrire 95 pages de scène d’exposition, ni à dépouiller votre monde de tout ce qui le rend original…



Je ne peux pas vous promettre que cette méthode va aplanir le moindre cahot sur votre chemin ou empêcher tous les blocages qui vous attendent… 

En revanche… je peux vous assurer que vous n’aurez plus besoin de réécrire 10 fois votre début de roman à cause de l’introduction de votre univers !

Il y aura toujours des corrections à faire, évidemment, mais… vous aurez franchi un cap important dans votre apprentissage de l’écriture.

 

 

Cependant, attention : cette masterclass ne vous apprendra pas à trouver des idées originales.

Des méthodes pour ça, il y en a pléthore de gratuites sur internet.

Cette masterclass va beaucoup plus loin que cela…

Elle présente un ensemble d’outils narratologiques, c’est-à-dire qu’elle se concentre sur la méthode telle que vous pouvez la mettre en œuvre dans votre œuvre. 

Autrement dit : la masterclass se concentre sur l’exploitation de vos idées dans votre roman et leur utilisation dans le cadre de votre intrigue.

Tout un écosystème narratologique à découvrir, lequel vous permettra d’être plus précis, plus rapide, plus efficace et, bien entendu, tout aussi créatif qu’auparavant !

 

 

 
Avec cette masterclass, l’objectif est double.

À court terme, vous comprendrez ce qu’il manque à vos univers romanesques pour véritablement prendre vie sur la page.

Vous saurez pourquoi vous bloquez au moment d’écrire et, surtout, comment vous en sortir.

Car vous aurez dorénavant tous les outils en mains pour ouvrir les portes techniques qui vous étaient jadis fermées !

À long terme, c’est-à-dire d’ici plusieurs mois, vous serez en mesure de créer des univers organiques et infinis, tout en restant à la fois cohérents, profonds et immersifs.

Vous commencerez à écrire n’importe quel roman de SFFF de manière plus détendue, plus confiante et plus naturelle côté exposition de l’univers. 

Mieux encore : ces univers romanesques intenses et immersifs, quasi infinis, deviendront même votre marque de fabrique !

Vos lecteurs auront conscience qu’à chacun de vos nouveaux ouvrages, ils seront happés au point de penser à votre univers comme s’il s’agissait d’un lieu véritable qu’ils auraient visité… et où ils n’auront qu’une envie : revenir !

 

 
Prêt-e-s ? Voici le plan !
+ L’erreur de tous les débutants… et comment l’éviter ;
 + L’univers de l’auteur, c’est l’immersion du lecteur en SFFF
, et c’est ce qui complique tout !
+ GRANDS UNIVERS = GRANDS AUTEURS ? La réponse est ailleurs ;
+ Ce qu’on oublie souvent de vous dire au sujet des univers, et pourquoi il faut d’abord commencer petit pour ensuite voir grand, trèèèès grand ;
+ Les univers, c’est comme les tabourets : s’il y a moins de trois pieds, ça ne tient pas debout…
+ Ce qu’on oublie souvent de vous dire au sujet des univers, deuxième prise : en vérité, l’univers est un personnage comme les autres (et ça change TOUT côté création et mise en place) ;
+ Univers, arène du récit et transformation du personnage : comment votre univers peut devenir un moteur de l’intrigue à travers l’évolution des personnages… et sa propre évolution en tant que monde organique ;
+ « SOS D’UN UNIVERS EN DETRESSE ♫ » : pourquoi un univers vivant est un univers marquant, et comment cela façonne son identité de façon durable auprès de vos lecteurs ;
+ « Quel type d’univers pour quel type de récit ? », ou comment votre intrigue change l’approche de votre univers (et vice-versa, mais dans une moindre mesure) ;
+ Un système simple pour créer des univers complexes : ou la méthode de création qui va changer votre manière de concevoir vos mondes imaginaires ;
+ Ma technique imparable pour gérer l’arrivée des informations sur votre univers au début de votre roman, et éviter de noyer lecteur, intrigue et personnages sous des détails inutiles ;
+ Et enfin, le grand secret des univers inoubliables : ce qui fait que certains univers de SFFF deviennent des classiques du genre, et d’autres, pas…
 
Vous pouvez dès à présent ajouter cette masterclass à votre espace personnel en cliquant sur « Accéder ».

 

Cette masterclass n’est pas un livre, ni un cours théorique : c’est une méthode créée sur la base de ma propre expérience.

Afin de vous la transmettre au mieux, j’ai créé un véritable support pédagogique, efficace et pratique. Concret.

Utilisable tout de suite.

 

D’ailleurs, le travail peut commencer dès maintenant en cliquant sur « Accéder ». Vous aurez accès à vie à ce contenu, et vous pourrez avancer au rythme qui vous convient.

À tout de suite,
 Cécile.

Contenu

Formation

1 - Un système adaptable pour une infinité d'univers ?
  • 19 mins
  • 19,6 Mo
2 - Création d'univers et arène de récit
  • 25 mins
  • 26,2 Mo
3 - Arène de récit et transformation du héros
  • 31 mins
  • 33 Mo
4 - Quel type d’arène pour quel type de récit ?
  • 18 mins
  • 18,3 Mo
5 - Synthèse méthodologique et nouveaux départs : ici, tout commence...
  • 19 mins
  • 19,6 Mo

Annexes

Annexe 1.pdf
  • 206 ko
Annexe 2.doc
  • 29,5 ko
Annexe 2.docx
  • 14,8 ko
Annexe 2.rtf
  • 54,8 ko
Annexe 2.odt
  • 7,58 ko
Annexe 2.pdf
  • 138 ko
Annexe 3.doc
  • 31 ko
Annexe 3.docx
  • 15,4 ko
Annexe 3.rtf
  • 59,8 ko
Annexe 3.odt
  • 8,08 ko
Annexe 3.pdf
  • 147 ko
Annexe 4.pdf
  • 140 ko
Annexe 5.doc
  • 28,5 ko
Annexe 5.docx
  • 14,6 ko
Annexe 5.rtf
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Annexe 5.odt
  • 6,7 ko
Annexe 5.pdf
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Annexe 6.pdf
  • 97,4 ko
Annexe 7 .pdf
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