D’être écrivain à temps plein et de passer vos journées à écrire, à imaginer, à créer…

 

Le problème, c’est que la plupart des auteurs en France vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Sur 100 000 romanciers déclarés en France, seulement 1600 d’entre eux vivent avec un revenu moyen mensuel supérieur au SMIC.

Concernant le reste, seulement 12 000 d’entre eux ont un revenu annuel supérieur à 8000€, soit environ 666€ chaque mois pour vivre.

Enfin… « survivre » serait un terme plus exact.

Pourtant, ce n’est pas faute d’écrire de leur mieux et le plus vite possible pour répondre à la demande des éditeurs.

Beaucoup de ces auteurs enchaînent les contrats de commande, leur travail étant réclamé par les éditeurs et les lecteurs, mais le système est tellement mal fait que les 10% qu’ils touchent sur chaque livre vendu ne suffisent pas à les nourrir.

Quand ils ont droit à 10% sur le prix TTC, s’entend… 

Parce que, parfois, c’est moins.

 

 

En France, vivre de l’écriture de fiction est quasi-impossible…

La plupart des auteurs enchaînent les livres et les burnout, dévorés par l’épuisement constant et la précarité incessante.

Ils courent après le moindre contrat, écrivant comme si leur vie en dépendait (ce qui est le cas, en fait).

Leur rêve de vivre de l’écriture s’est transformé en cauchemar.

Ils n’en peuvent plus à cause de la pression constante et n’ont plus aucune créativité.

Ce qui leur apportait jadis du bonheur est devenu une source d’angoisse.

Parfois, certains préfèrent abandonner l’écriture.

Leur santé mentale comme physique en a pris un coup, et ils ressortent brisés de ce rêve pour lequel ils se sont tant battus.

 

 

J’en sais quelque chose, car c’est à peu de choses près ce qui m’est arrivé en 2018, l’année où je me suis effondrée.

Avant cela, j’ai « vécu » ou plutôt survécu de l’écriture pendant 4 ans, avec un revenu moyen largement inférieur au seuil de pauvreté.

La meilleure année, j’ai gagné 15000€ brut (il fallait enlever les charges sociales de 10% pour avoir le net).

15 000€, youpi ! En ayant écrit 3 livres et traduit pas moins de 8 ouvrages la même année.

Sans prendre de vacances ni de repos, en vivant dans la peur constante de ne pas réussir à trouver un contrat qui, enfin, paye bien, ou juste un peu mieux…

 

J’ai tenu 4 ans à ce rythme infernal, et puis mon corps m’a lâché.

J’ai perdu énormément de poids ; je suis retournée vivre chez mes parents pendant quelques mois, car je n’arrivais pas à m’arrêter de pleurer ni à manger à cause de l’épuisement mental et du stress…

Bref, j’étais au fond du trou.

 

Pendant des mois, je n’ai pas écrit une ligne.

J’étais incapable de me concentrer, et tout ce qui était lié de près ou de loin à l’écriture de fiction me dégoûtait.

Durant cette même période, je me suis mise à chercher ce que je pouvais faire d’autre de ma vie.

Et là, j’ai découvert le copywriting…

Et ma vie en a été complètement transformée.

En mieux. En tellement, teeeeellement mieux !

 

 

Le copywriting, c’est l’art d’écrire pour vendre.

Vendre des livres, des produits culturels ou non, des services – sur internet, principalement.

Et si dans « copywriter » il y a « writer » et non « vendeur », ce n’est pas un hasard : l’écriture est vraiment au cœur de cette démarche.

 

 

Depuis 3 ans, grâce au copywriting, je vis très bien de l’écriture.

J’arrive à me dégager un revenu moyen de 2000€ par mois, et si je le souhaitais, je pourrais même me payer davantage (mais je préfère travailler pour vivre que vivre pour travailler, donc je n’augmente pas la cadence outre mesure et je bosse rarement plus de 25-30h/semaine).

Je prends même des vacances : 2 mois chaque année, répartis sur l’année (dont un complet durant l’été).

Alors, certes : je vis de l’écriture technique et non de l’écriture de fiction.

Mais la grande différence, c’est que j’ai désormais le temps, l’énergie et la liberté d’écrire ce que je veux, quand je veux et pour qui je veux, en termes de fiction.

Et ce, uniquement parce que le copywriting remplit le frigo !

 

 

Selon moi, le copywriting est LA meilleure façon de vivre de l’écriture aujourd’hui en France.

Non seulement parce que c’est une compétence idéale pour les gens qui sont déjà écrivains et savent manipuler la langue française…

Mais aussi parce que ce n’est ni difficile ni compliqué à apprendre.

C’est même assez rapide, pour peu qu’on en respecte les grands principes, qu’on accepte de se remettre en question… et qu’on se forme auprès des bonnes personnes en suivant les bons conseils.

 

 

Des dizaines de formations proposent aujourd’hui d’apprendre à écrire pour vendre, mais aucune n’est spécifiquement tournée vers les gens qui écrivent déjà de la fiction.

Des gens comme vous et moi, qui ont envie d’écrire pour vendre des produits culturels (et pas juste d’autres formations, ou des chaussures, des ordinateurs, ou que sais-je encore).

Aucune… sauf la masterclass que je vous présente ici aujourd’hui !

Pour vous la procurer, il suffit de cliquer ici sur « accéder ».
 

 

Les objectifs de cette masterclass sont doubles.

À court terme, elle vous permettra de mieux vendre vos livres, vos services et vos produits culturels.

Vous comprendrez intimement les mécanismes psychologiques de la vente et découvrirez qu’il existe des façons de vendre à la fois honnêtes, sincères et efficaces, qui passent toute par l’écriture et l’empathie.

À long terme, vous serez en mesure de mieux vivre de l’écriture.

Le copywriting n’aura plus aucun secret pour vous, tant et si bien que, si vous souhaitez devenir copywriter, cette formation vous aura donné tous les outils nécessaires pour écrire des pages de vente pour les autres… et être payé pour cela !

Car si la fiction paie mal et rarement, le copywriting paie au contraire très bien et à la mission : en effet, une seule page de vente écrite en 4 à 8h pourra vous rapporter de 300 à 3000€, selon vos tarifs et votre clientèle.

 

Cependant, je tiens à le préciser pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté : dans cette masterclass, je vous apprends à écrire pour vendre… et rien de plus.

Si vous souhaitez savoir comment créer votre entreprise pour devenir copywriter, fixer vos tarifs, prospecter des clients, etc., ce n’est pas dans cette masterclass que vous trouverez ces informations.

 

Prêt-e-s ? Voici le plan :
+ On ne crée jamais le désir chez le client : on le redirige vers notre produit grâce aux leviers d’empathie ;
 + Les secrets d’une offre irrésistible, en trois points seulement ;
+ Comment être spécifique, et pourquoi c’est important pour réussir à vendre à (presque) tous les coups ;
+ Pourquoi l’honnêteté fascinante vend mieux que le mensonge éhonté, et de quelle façon l’utiliser dans vos textes de vente ;
+ Les 4 schémas de persuasion les plus courants, que je vous aide à adapter à vos besoins spécifiques tout en conservant leur substantifique efficacité côté vente ;
+ LA FONCTIONNALITÉ N’EST PAS LE BÉNÉFICE, ou l’erreur la plus grave que commettent la plupart des gens quand ils essaient de vendre et qui leur fait perdre 80% de leur chiffre d’affaire potentiel ;
+ Le principe de vente le plus important et le plus essentiel, à côté duquel quasiment tous les auteurs qui essaient de vendre sur internet passent (et qui explique qu’ils n’arrivent pas à bien vendre, que ce soit leurs livres ou leurs services) ;
+ Les secrets du « style copywriting », ou l’art de faire simple et efficace sans prendre son client pour un con ;
+ Ces « tue-la-vente » que vous pratiquez sans le savoir, et mes techniques pour ne plus commettre ces impairs qui font fuir le client potentiel ;
+ Savoir (se) pitcher en une phrase et retenir durablement l’attention de tout client potentiel (sans mentir ni déformer la vérité, bien entendu !) ;
+ La structure d’une 4e de couverture qui vend à tous les coups, avec des exemples analysés et un résultat en moins d’une heure ;
+ Ma technique d’approche des « speed-dating » auteur-éditeur, aux Imaginales ou ailleurs, pour savoir se vendre sans bégayer et présenter son récit de façon persuasive, même quand on est timide ou pas à l’aise avec la vente ;
+ Écrire un argumentaire de vente qui convertit, c’est pas sorcier ! Et je vais vous le prouver en vous donnant ma recette secrète… celle que j’utilise partout, tout le temps (oui, même ici !) ;
+ Le plan détaillé de l’argumentaire de vente destiné aux professionnels du livre, qu’ils soient libraires, diffuseurs, distributeurs, bibliothécaires ou encore professeurs-documentalistes ;
+ Les secrets et la structure d’un excellent communiqué de presse, qui vous permette de faire du bruit dans les médias à la sortie de votre roman, le lancement de votre financement participatif, etc.
 
 

En bonus :
 + Mes 7 lectures incontournables sur le copywriting (notamment parce qu’elles parleront à l’auteur de fiction en vous) ;
+ 8 exercices d’écriture de vente, pour aller plus loin et vous entraîner avant de vous lancer dans le grand bain ;
+ Et, enfin, l’art et la manière d’utiliser tout ce que vous venez d’apprendre jusque dans votre vie quotidienne…
 
 

Vous pouvez dès maintenant ajouter cette masterclass à votre espace perso en cliquant sur « Accéder ».

 

Grâce au copywriting, je suis passée d’autrice précaire à autrice libre.

Cette compétence a vraiment changé ma vie.

C’est pour cela que je tenais à réaliser une masterclass sur le sujet, pour vous transmettre les méthodes, techniques et outils que j’ai appris, accumulés et assimilés ces trois dernières années.

 

À votre tour d’apprendre à écrire pour vendre… le travail peut commencer tout de suite en cliquant sur « accéder » !

Vous aurez accès à vie à la masterclass, et vous pourrez avancer au rythme qui vous convient.

A tout de suite de l’autre côté,
Cécile.